Vous connaissez ma fascination pour le pinot noir.
Ça relève presque de la perversion.
On pourrait aussi dire: pluralité de versions.
C'est plus académique, moins érotique.
Vous préférez que je parle de bourgogne rouge?
Voilà qui est drôlement plus ciblé!
Surtout qu'il n'est de pinot noir qu'en Bourgogne.
Allons, un enfant de trois ans sait ça! Pas vous?
Maintenant, oublions le pinot noir et causons bourgognes.
Ces bourgognes pluriels qui racontent le pinot noir du nord au sud comme autant de flèches à l'arc du cépage...
Mieux que n'importe quelle communications du BIVB et de la presse spécialisée réunis!
Je l'ai goûté hier encore, cette bourgogne juteuse et bagarreuse, fière de son terroir, à l'écart des sentiers connus, du côté de Chitry. À moins de 10 euros et dans un millésime de héros, j'en fais mon ordinaire.
Une perversion bien ordinaire...
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